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Marseille pleure son parrain
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MORT DE JEAN-CLAUDE “TONTON” GAUDIN
MARSEILLE PLEURE SON PARRAIN
Il s’en est manqué de peu que le Vieux-Port il déborde de larmes.
C’était un brave cérémonial funeste, hier au soir dans la modeste chapelle de La Major. Effectivement, en ce jour béni du 22, le dernier hommage au regretté Malandrin s’est déroulé dans le calme, le gros chagrin et la bonne humeur, mené deux mains deux mètres par l’indéboulonnable JuL, suivi de sa palanquée de cabestrons déplorés de l’Estaque, des fiolis de La Joliette, des quèques de La Plaine, et des autres têtes d’esque du Panier. Côté officiel, outre le chourmo de Mazargues, figuraient également en place et lieu de bonne figure tous les collègues des affaires politiques de l’Hôtel de Ville, qui pour le coup avaient sorti le costume de gandin, les vernis et les rébannes, sans oublier les vieux nervis de l’UMP, les anciens du patronage du Lycée Zampa, et les barbeaux du Pôle Emploi Fictif de Belsunce. Bref, y’avait coucaren de monde, on était esquichés jusqu’à l’estouffade, tellement c’était violent de sentiments.
L’Hommage de la Rue d’Aubagne
Après l’estrambord funéraire de La Major, une chaleureuse procession mortuaire s’est mise en train afin de traverser la Cité Olympienne de toutes parts, direction la déchetterie. C’est alors qu’au passage dans la Rue d’Aubagne, on a pu assister à un brave esclandre qui aurait pu un peu tourner limonade sans l’intervention des bourriques de l’Evêché dans leurs carioles de carnaval sérigraphiées. Pour de bon, au passage de la charrette, une pluie d’ex-votos s’est gravement abattue du moindre fenestron, incluant un moulon de diverses balayures, bordilles, estrasses et autres résidus de cagagne des familles qu’il a dû bien en avoir le vire-vire dans sa boîte funèbre. Encore un bel hommage appuyé au Saint Homme qui clôture une belle journée ensoleillée intense en véridique émotion.
Les circonstances et les conséquences de l’embouligue fatale.
Il fallait bien un éminent espécialiste des maladies cardiologiques inquiétantes pour pratiquer le Top 6 du Saint Homme et ainsi déterminer avec exatitude par quel grand malheur il a bien pu se trouver si vite plus près de la Pomme que de Saint Marcel. Grâce à la Bonne Mère de nous avoir donné le Grand Dragon du Frioul en la personne du Professeur Raoult, qui s’est rendu sur les lieux du trépas pour nous en parler de visu : “ Bah, vous pouvez pas comprendre, mais en résumé, il était aux boules avec les Oncles de Mazargues quand il s’est fait destroncher son point par un palet sur place quasi-estraordinaire, ce qui lui a provoqué intérieurement une grosse estoumagade, ce qui a impliqué que ça lui a mis le bât-bâti, suivi de près par l’infractus en question, et zou, il en a cané sans coup férir, avant même que le capelan il puisse lui infliger l’estrême onction, les huiles mystiques, et tout le Saint Sacrement
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