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A l'occasion des trente ans de la mort de Michel Berger, et parce que nous souhaitons que vous passiez de bonnes fêtes, nous vous proposons ce tee-shirt commémoratif et nous vous offrons, dans toute la gratuité dont nous sommes fiers de savoir faire preuve, une petite biographie de cet immense sportif, qui, nous l'espérons, lui rendra un trop bel hommage.
Le Tee-shirt : https://elpshop.com/recherche?controller=search&s=berger
Le second chapitre de la biographie :
UNE PETITE BIOGRAPHIE DE MICHEL BERGER, TENNISMAN DE LEGENDE.
2 / ENFANCE DESASTREUSE ET PREMIERS RACKETS.
D'autres signes avant-coureurs d'un destin hors-norme pointaient déjà le bout de leur nez. Authentique enfant de la balle, évitant les volées maternelles et les coups de filet des milices arreckxiennes, ou parfois jeté à terre, battu, en deux sets trois mouvements, par de petits racketeurs de fond de Cours Lafayette, le jeune Michel développa rapidement une aptitude prononcée pour les pas chassés, on se demande bien pourquoi.
Mais sa première véritable vocation, injustement contrariée, parfois jusqu'à l'aversion originale, fut musicale et non-avenue. Outre ses premiers arpèges sur le piano de l'ignoble boui-boui de sa mère, Denise, ses longues nuits passées au violon ainsi que ses journées de glandouille à gratter ça et là ou à pipeauter comme un macroniste, lui inculquèrent, à ses dépens et à contrecoeur, une appétence inavouable pour la sérénade aux balconnets, le tapage nocturne, la mélodie en sous-sol et autre tournante batcave.
A cette époque, toute la smala Hamburger squattait un inconfortable taudis, avec vue sur la cour et son WC commun, rue Louis Audoye, et à l'oeil, vu qu'ils payaient soit que dalle cash, soit peau de balle au 36 du mois. Par hasard et malheur, d'autres morveux infantiles, délinquants en herbe assermentés, graines de vermine et crétins des Vosges complètement désenchantés, se retrouvèrent là à partager la même cour et les mêmes vicissitudes pré-pubères, tels de faméliques moineaux recalés par la DDASS et livrés en pâture à leur famille dégénérescente, en vue d'une tragédie musicale imminente.
Il y avait là Jim Marquelloni, expatrié des Vosges, aka "Vide-Grenier", cause que son dernier étage était inhabité de naissance; Francky Shuranovitch, aka "SM58" ou "Sure-Off", cause qu'il adorait chourer des micros chez le Père Argens; Mickey Dupont-Dulas, aka "Ducon-Hélas", on se demande bien pourquoi; l'ignoble Dee Dee White, aka "Chili-Boy", cause qu'il était gourou d'une secte findemondiste annonciatrice, entre autre, de la fin des haricots, et son frangin Pablo, aka "Picasshole", cause qu'il passait son temps à recouvrir les murs du quartier d'énormes teubs dégueulasses et autres slogans politiques imagés.
Les pires circonstances étaient enfin réunies pour que le petit Michel, aka "Petit Michel", cause qu'il était petit, puisse enfin monter son premier groupe, The Michel's Angels, avec un "The" cause que ça fait plus garage. C'est de ce jour catastrophique que perdurera la dévorante ambivalence du grand futur sportif que nous sachons, mais ça, c'est encore une autre histoire...
A suivre
Bises.
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